Après une semaine complète de dévégétalisation dans des conditions parfois périlleuses, le rempart à l’ouest de l’abbaye Saint-Nicolas est enfin visible de toutes ses pierres. L’ancien
mur de défense a été débarrassé du lierre qui l’étouffait depuis trop longtemps et le rendait invisible sur une portion de 40 mètres ; au centre se révèle, majestueuse, la Porte d’Armentières,
bâti emblématique datant du Moyen-âge, admirable depuis les fossés du boulevard Rochechouart.
Maryvonne Choisselet, vice-présidente chargée du patrimoine pour l’INSE, ne souhaite cependant pas en rester là. C’est une phase de diagnostic sanitaire du rempart qui est annoncée pour être
suivie d’un plan de sauvegarde et restauration.
L’analyse scientifique, liée au diagnostic par les archéologues du bâti, des remparts et de la Porte d’Armentières promet de révéler quelques secrets de la construction de cet édifice encore
jamais étudié.
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DUVEAU LOUIS (samedi, 30 septembre 2017 18:14)
Ce n'est pas rien, on dit que mon saint patron, Louis IX, dit Saint louis, serait passé sous la porte d'Armentières pour entrer dans Verneuil, il a déjà quelques années, je n'ai pas encore eu cet honneur !!!!
Bien amicalement votre
Louis DUVEAU
Article du Réveil (lundi, 16 octobre 2017 12:09)
Abbaye. La Porte d’Armentières mise à nu à Verneuil
Après une semaine complète de dévégétalisation dans des conditions parfois périlleuses, le rempart à l'ouest de l'abbaye Saint-Nicolas est enfin visible de toutes ses pierres.