« Nous soutiendrons en priorité les actions contribuant à la restauration des remparts longs de 350 mètres mais aussi d’édifices médiévaux faisant l’objet de recherches historiques ou archéologiques »
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Vice-présidente intercommunale en charge de l’abbaye, Maryvonne Choisselet voit la création de Verneuil médiéval comme une très bonne nouvelle.
« Vous imaginez bien que dans 5 000 m2 de bâti sur 3 hectares, il y a énormément de boulot pour sauvegarder et entretenir ce site qui est un joyau encore trop méconnu des Vernoliens. Toutes les bonnes volontés et forces vives pour y participer sont les bienvenues »
assure l’élue qui estime que, petit à petit, l’abbaye commence à revivre. Des écoles tournées vers l’horticulture viennent y travailler et « des paroissiens se sont proposés pour nettoyer le cimetière des moniales », cite-t-elle en exemple.
Outre les remparts bordant l’abbaye avec la porte d’Armentières, l’action de Verneuil médiéval pourra être étendue à d’autres lieux où existent des vestiges médiévaux : la Tour gelée, le mur de la fauconnerie et la Tour grise juste à côté, quelques pans de murailles appartenant au domaine public ou privé, ainsi que quelques maisons particulières
Le Réveil Normand
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